Comme une groupie!

Hier, j'ai croisé Patrice Robitaille. J'ai même discuté avec lui.
Bon, OK, on a échangé trois lignes... on ne peut pas appeler ça "discuter", mais quand même!

C'était à sa sortie de scène de (l'extraordinaire pièce) Huis-Clos, dans les loges.
Ne me demandez pas comment je me suis retrouvée là... mais j'y étais.

Quand je l'ai aperçu là, sur le sofa, en train de discuter de la pièce avec un ami, je me suis sentie comme une adolescente face à son idole. Celui que je venais de voir sur scène et avec qui je passe une bonne partie de mes soirée depuis une semaine (voir billet précédant sur Les Invincibles, je suis rendue à 12/35), était devant moi, en chair et en os.

Je n'ai pas pu m'empêcher d'intervenir. "C'est sa présence" que j'ai dit, comme ça, tout bonnement. Imaginez mon état d'excitation quand il m'a donné raison d'un "Mets-en, c'est fou hein!!!"

Et puis là, j'ai été amenée ailleurs pour que l'on me présente à Pascale Buissière (actrice vedette et de haut calibre)... ce qui aurait dû être le clou de ma journée.

Non, moi, ce que j'ai retenu c'est que j'ai parlé à Patrice Robitaille de Québec-Montréal, L'Horloge Biologique, Les Invincibles... et Huis-Clos :P

Et pour ceux qui trouvent que notre simili discussion ne semble pas avoir de sens, nous nous référions à Sébastien Dodge, qui occupait la scène de façon hypnotisante dans le rôle mineur (qui semblait pourtant majeur) de Garçon. Voilà!