Êtes-vous curieux de connaître l'horaire des fêtes de la Pitchoune glacée?
Alors, attention: elle avait déjà droit à un horaire serré quand ses deux parents étaient ensembles, maintenant, ça relève de l'exploit!
(savoir que le 20 décembre elle a déjà fêté Noël à la nouvelle garderie avec moi et son papa)
23 pm: Noël à l'ancienne garderie (avec présence du sacro-saint Père Noël!)
-switch-
23 soirée: réveillon de Noël avec papa et sa nouvelle famille-par-extension (Blonde, mère de Blonde et Gros-Chat -chat de Blonde-)
24 matin - cadeaux chez papa et brunch de Noël
-switch-
24 soir: Réveillon dans la famille de ma mère
25 matin: réveil avec quelques cadeaux de moi... essayer de survivre jusqu'à 10am
25 midi : brunch & cadeaux avec mon père, ma mère, mon frère et sa blonde
25 soir: réveillon dans la famille de mon père
-switch-
26 - on retourne chez papa.... et moi je dors!!!!
Genre, le délire total!
Et attendez: elle ne le sait pas encore, mais elle va voir Casse-Noisette avec moi le 27 décembre et le bal des Princesses Disney (c) avec son papa le 28 décembre!
Quand j'ai vu cette animation je me suis dit que le dessin est un outil extraordinaire qui peut parfois exprimer en quelques traits ce que les mots peinent à décrire.
Mon travail m'a amené à côtoyer quelques adultes aux prises avec un TED (trouble envahissant du développement - autisme) et c'est bien plus complexe que ça en a l'air de l'extérieur... reste que, justement, de l'extérieur il est bien souvent difficile de comprendre pourquoi ces personnes ne sont pas réceptives comme on le voudrait. Il s'agit d'arriver à entrer dans la bulle, le temps qu'on nous y accepte et dans les limites que cette bulle nous impose.
Enfin, c'est ma vision et je la retrouve dans cette animation toute simple.
Parce que j'adore son accent et surtout comment elle réussi à transmettre dans cette chanson ce qu'est la réalité crue du quotidien de deux amoureux qui ont fini par tout simplement se... taper sur les nerfs.
Parce que je suis heureuse de n'en être réellement arrivée là avec qui
que ce soit (peut-être certaines amitiés, en fait), mais que ça ne
m'empêche pas de jubiler en entendant cette série de craques et de
vannes mesquines.
Parce que j'apprécie encore plus que ce soit fait sur une musique joyeuse avec un ton sarcastique à souhait.
Et puis parce que ça fait bien deux ans que je voulais poster cette vidéo...
J'en ai envie, mais pas toute seule... et puis, c'est gratuit (en plus de la visite du nouveau pavillon dédié à l'art canadien - section 1960 à nos jours ++ intéressante), alors pourquoi s'en priver ?
Le concept est cool: choisir 15 stars personnalités* du monde artistique (tous genres confondus) et leur laisser carte blanche pour créer une œuvre inspirée d'une des œuvres phares de la collection du musée. À eux de choisir quelle sera leur muse et ce qu'ils en feront. Une ribambelle d'hommages, d'interprétations, de complémentarités... prometteur ou propice à la déception? Faudrait voir.
Je ne veux pas trop en savoir avant de m'y rendre, de peur, justement, de tout simplement finir par tout savoir avant d'y être.
(photo: Voir.ca)
Il faudrait bien que je me décide: ça fait quand même bien 1 mois et demi que l'expo est commencée... et elle a beau se terminer le 22 janvier, le temps passe vite en cette période pré-fêtes. Ensuite le froid et les bancs de neiges s'amusent à nous enlever l'envie de se promener en ville (bah oui, en bonne feignarde je suis de celles qui trouvent que le musée est trop loin du métro... ou en fait pas assez loin pour ne pas prendre le métro, mais juste assez pour chiâler!)
Suivez le lien vers la plateforme Vimeo du MBAM pour voir une capsule sur chacune des collaborations.
*Juste pour vous donner une idée: Jennifer Alleyn, Nancy Huston, Melissa Auf Der Maur, Genevieve Cadieux, Wajdi Mouawad, Pierre Lapointe, Marie Chouinard, Denys Arcand, Michel Rabagliati... vous voyez le genre, quoi!
Depuis quelques jours, j'ai comme une envie de faire de l'artisanat... ne serait-ce que pour le plaisir de jouer avec les couleurs, les motifs et les textures sans me casser la tête et devoir "créer".
Je me suis donc remise aux bracelets d'amitié (remise = la dernière fois que j'en ai fait, je devais avoir 16 ans... et y a une raison pour ça!) et puis je suis tombée sur un petit kit d'origami (papier inclus).
Ça m'amuse bien et, surtout, ça enchante Amandine (qui a carrément dormi avec son papillon -en tout cas, c'en est un selon le livre et elle est d'accord-)!
(Ce ne sont pas les miens, cliquez pour le lien)
Je me suis dit que ce serait amusant pour faire quelques décorations de Noël ou alors des étiquettes pour les cadeaux, alors j'ai fait quelques recherches d'images et c'est vrai que l'on peut faire pas mal de choses... mais enfin, faut savoir comment!
Voilà, novembre est terminé et j'ai oublié de vous parler de Movember, le mois de la moustache...
Pourquoi un mois de la moustache?
Parce qu'il fallait trouver une façon efficace d'amener les hommes a s'intéresser à leur santé et attirer l'attention de la population sur le cancer de la prostate (et dépression chez les hommes dans certains pays). L'équivalent du ruban rose pour les cancers féminins, quoi... mais en plus amusant!
Qu'est-ce qui attire plus l'attention qu'un million d'homme qui décident de porter la moustache (symbole de masculinité) pendant un mois pour manifester leur support et leur appartenance?
Depuis 2004 (du moins, en Australie), le mois de novembre est donc devenu le mois de movembre et depuis le mouvement prend de plus en plus d'importance.
J'avoue que je n'en avais jamais entendu parlé jusqu'à cette année... mais avec les joueurs du Canadien (et le monde du hockey) qui en ont fait la promotion, je peux vous dire que le mouvement est bel et bien lancé ici.
D'ailleurs, c'est le Canada qui a gagné la course aux dons cette année.
Car oui, le but c'est de faire 'sponsoriser' sa moustache et d'amasser le plus d'argent possible.
Ça marche: près de 103 million amassés cette année, dont 37 million au Canada (246 000 moustachus temporaires... moi je vous le dis: c'est le hockey!).
Et comment est-ce utilisé?
Par rapport à l'an dernier, le nombre de participants a doublé et on peut s'attendre à pire l'an prochain: plus d'hommes le font, plus on en parle... et comme l'idée est facile et amusante, plus on en parle plus d'homme le feront.
Mais au delà des dons et de la recherche, ce qui est important c'est la sensibilisation.
Comme Adam Gorone (CEO de la fondation) le mentionnait: «Chaque gars
devient une publicité ambulante et sonore pour Movember et pour la santé
des hommes»
Ça, vous voyez, je trouve que c'est le marketing à son meilleur!
Voici comment l'organisation explique le concept:
"Le 1er novembre, les gars, rasés de près, s’inscrivent à Movember.com. Le
reste du mois, ces hommes altruistes et généreux, qu’on appelle les Mo
Bros, taillent, entretiennent et cirent leur moustache pour qu’elle
figure parmi les plus belles. Appuyés par les femmes de leur vie, les Mo
Sistas, les Mo Bros de Movember recueillent des fonds en cherchant à
faire commanditer leur moustache.
Les Mo Bros deviennent en fait des panneaux-réclame ambulants et
parlants pendant les 30 jours de novembre. Par ce qu’ils font et ce
qu’ils disent, ils contribuent à sensibiliser leur entourage en
favorisant les conversations privées et les débats publics sur ce sujet
souvent négligé de la santé masculine.
À la fin du mois, les Mo Bros et leurs alliées (les Mo Sistas) célèbrent
leur galanterie et leur courage en organisant leur propre fête Movember
ou en participant à l’un des célèbres Gala Partés qu’organise Movember,
pour Movember, en divers endroits du monde. "
Bienvenue dans mon univers... C'est un grand bordel de n'importe quoi, mais je l'aime. Pour le plaisir de partager, sans rien prendre au serieux, pour une fois! N'oubliez pas d'y laisser votre trace!